Mes livres
Avez-vous accepté le vaccin par conviction ou par contrainte ?
« Les courts témoignages rapportés ici serviront à la postérité. Ils lui permettront de comprendre ce qu’il s’est passé mais aussi de graver la vérité dans le marbre. Car il ne faut pas que le récit fasse oublier l’essentiel : des masses entières de la population ont été forcées d’accepter une injection de produit encore à l’essai sous peine de ne pas vivre normalement ou de perdre leur travail. Ceci est d’une extrême gravité en matière de dérive autoritaire. Je répète, contraindre des gens à s’injecter un produit sans que l’on ait assez de recul pour savoir s’il est efficace et surtout s’il est nocif, est véritablement un acte d’une extrême gravité. Les gens en ont-ils seulement conscience ? Ce n’est pas certain. Je ne cherche pas ici à dire que le produit n’a pas marché ou qu’il a occasionné des effets indésirables à des personnes qui n’étaient pas à risque, je dis simplement qu’au niveau éthique, contraindre les gens à s’injecter un produit nouveau dans le sang, et je ne parle pas ici spécifiquement du vaccin-covid mais en général, est un acte repréhensible de la plus haute gravité. »
Discours de la servitude intellectuelle
Disponible en précommande et paraîtra le 28 novembre 2023
« Intégré dans un groupe à l’idéologie commune et prenant aveuglément pour argent comptant le récit de l’autorité, l’individu soumis intellectuellement délègue son esprit critique à ladite autorité. Il n’existe plus en tant que sujet pensant mais en tant que cellule d’un corps qui le dépasse. Il ne pense plus, ne doute plus, n’ose plus savoir, il est emporté par une force supérieure, il suit le mouvement du corps. Ce transfert d’identité intellectuelle à l’autorité le rassure. D’abord parce qu’il se sent appartenir à un groupe, ensuite parce qu’il se met dans le camp de l’autorité, et enfin parce qu’il ne se sent pas responsable de la mauvaise gestion de l’autorité : il n’est qu’un rouage bien huilé au sein de la machine. »
Complosophisme : Éloge de la pensée critique
Peut-on questionner le système dans lequel nous vivons ? L’élection offre-t-elle réellement le pouvoir au peuple ? En l’état, ce procédé ne nous condamne-t-il pas à donner le contrôle à des puissances financières colossales, lesquelles ont d’une part les moyens de financer les campagnes électorales des candidats qu’elles veulent voir élire, et d’autre part de s’acheter les médias à des fins de propagande et de pilotage desdites campagnes électorales ?
Mais lorsqu’on se pose ces questions pourtant essentielles, l’étiquette « complotiste » tombe rapidement. N’est-ce pas-là le prétexte idéal pour esquiver tout argumentaire, sans avoir à en débattre un instant ?
Constatant que cette méthode était utilisée dans le débat public pour faire taire toutes réflexions dérangeantes, Alexis Haupt choisit de la nommer : le complosophisme, ou l’art d’user d’une attitude fallacieuse pour fuir la confrontation. Conceptualiser la chose redonne le pouvoir de clairement remettre en question les sournoises censures, et surtout d’armer les esprits, en sauvegardant à tout prix l’esprit critique.
L'animalisme-spéciste : Fils et protecteur de la Nature
« Il y a deux types de personnes qui déclarent que l’Homme est supérieur à l’Animal : celles pour qui on peut disposer des animaux à sa guise : les élever à des fins alimentaires, sans considération de leurs conditions de vie, etc, et celles qui, se déclarant supérieures à eux en tant qu’humains pensants, à l’instar de l’adulte envers le nourrisson, se sentent responsables de leur bien-être et agissent en ce sens. Cette seconde catégorie de personnes appartient à un nouveau courant de pensée qui, à ma connaissance aujourd’hui, n’a pour adhérents potentiels ceux qui comme toi sont en train de me lire. Ce courant de pensée qui prône la supériorité intellectuelle de l’Homme sur les autres espèces vivantes, et donc sa responsabilité envers leur bien-être et leur survie, je le nomme : animalisme-spéciste. Eh non, lecteur, ce n’est pas un oxymore, mais un courant de pensée nuancé. Je te répète sa devise : "fils et protecteur de la Nature". »
Ploutocratie : La cause des causes de tous nos maux
Dans la Caverne des aveugles ou dans la matrice, il ne sert à rien de montrer le réel ou la vérité à ceux qui ne veulent pas les voir. Il faut avant toutes choses qu’ils aient envie de les connaître. Sans cela, tu auras beau leur mettre le réel sous les yeux, lecteur, ils s’accrocheront aux ombres, au récit, à la doxa. Ce qu’il convient de faire ? Faire grandir ce moi intérieur qui veut connaître la vérité, et que je nomme le moi-pensant. « Ose savoir » te dit Kant, eh bien faisons grandir en nous ce désir d’oser savoir, ce vouloir-savoir.
De la société pharmaco-punitive au crédit social
« Une gouvernance pharmaco-punitive n’est pas une fin en soi mais un moyen : un sas d’entrée. La société pharmaco-punitive peut avoir pour but d’opérer un changement radical de société, changement orienté vers davantage de restrictions et de répressions. Elle peut tout à fait servir de phase transitoire à une société autoritaire de contrôle des humains par le numérique : une société numérico-restrictive, voire numérico-répressive, laquelleest une forme de crédit social « à la chinoise ». La société pharmaco-punitive peut utiliser un prétexte ou une idéologie sanitaire pour préparer le citoyen à accepter la société de contrôle et de restriction : une société qui offre la possibilité à l’État de restreindre arbitrairement les libertés des citoyens pour pouvoir les contrôler, les surveiller, les contraindre, les formater et les dompter, d’une part. Et de réprimer ceux qui s’opposent à cette société de contrôle et de contrainte par ce que je nomme la répression tacite, d’autre part : rendre la vie difficile au « mauvais citoyen » sans le punir de lourdes peines mais en le forçant à obéir par le chantage et l’extorsion de consentement de sorte qu’il ne puisse pas parler d’autoritarisme. »
Le printemps humain, de l'éveil des consciences naîtra la démocratie
« La "révolution véritablement révolutionnaire" naîtra quand le moi-pensant des gens sera mature : quand ils vivront pour s’interroger et douter des réponses à leurs interrogations, quand ils vivront pour connaître la vérité. De cette révolution découleront toutes les autres. De cette révolution découlera le printemps humain. Eh oui, de cette révolution, découleront toutes les véritables révolutions dans les sociétés humaines, y compris celle qui émancipera les hommes de toutes les hiérarchies politiques. Du printemps humain découlera la révolution qui leur permettra de vivre comme de véritables êtres pensants et non plus comme le font les autres grands singes dans toutes les forêts et jungles du monde depuis la nuit des temps : au sein de groupes régis par des mâles ou des femelles alphas : des chefs de meute ! »
Je pense donc je légifère Le cogito citoyen
« Il y a deux choses dont je suis certain. La première, c’est la vérité incontestable de René Descartes, à savoir qu’un homme peut douter de tout à l’exception de ceci : il doute justement, ou ce qui est pareil, il pense. La seconde, la voici : étant donné que j’existe en tant qu’être pensant, je me dois de penser aux lois de mon pays et non subir celles d’un autre que j’ai mandaté pour le faire à ma place. Je suis un adulte et je dois me comporter comme tel, c’est-à-dire participer directement à l’élaboration des lois et non me contenter de choisir mon « responsable légal », autrement dit, celui qui se chargera de toutes les choses sérieuses qui régleront ma vie ! Eh oui, lecteur, tu as un cerveau qui pense, alors tu dois l’utiliser pour réfléchir aux lois de ta société et non pour réfléchir à la personne que tu mandateras pour faire cela. Si « Je pense, donc je suis » est irréfutable, « je pense, donc je dois penser aux lois de mon pays » ou, ce qui est pareil, « je pense, donc je vote mes lois », l’est tout autant. »
"Je suis votre voix" ou la démocratie indirecte, une belle mascarade, Partie 2
« Je suis votre voix », disent aujourd’hui fièrement les représentants du peuple ou les prétendants à ce poste en s’adressant à lui ! Mais pourquoi diable ce brave peuple aurait-il besoin que quelqu’un soit sa voix ? Est-il muet ?
Alors que cette phrase fait la fierté de tous ceux qui évoluent dans des « démocraties représentatives », je dis quant à moi qu’elle est à ranger dans les slogans honteux. C’est bel et bien le propos le plus scandaleux que puisse tenir une personne dans un système qui se veut démocratique ! Même un homme muet devrait être scandalisé qu’on lui propose d’être sa voix pour ce qui concerne les affaires politiques. Même un homme physiquement incapable de parler, pense et sait exprimer ses pensées ! Même lui n’a pas besoin de choisir celui qui aura la mission de parler en son nom et de choisir pour lui les lois !
" Je suis votre voix " ou la démocratie indirecte, une belle mascarade Partie 1
La démocratie c’est quand le peuple a le pouvoir. Mais quelle étrange période que cette époque où la Terre est remplie de peuples qui se croient en démocratie alors qu’ils n’ont que le pouvoir de choisir leurs chefs et le droit de se plaindre ensuite de deux choses : du constat de leur impuissance en tant qu’électeurs et des décisions prises par ceux qu’ils ont choisis comme chefs. Cesse de te plaindre de cette situation, peuple, réfléchis plutôt au moyen de devenir souverain !
Le Monopoly
Livre 2
« N’en déplaise à certains de l’entendre, telle est la vérité choquante du 21e siècle : l’Homo sapiens est un grand singe aliéné, il est né dans une « fourmilière » où toutes les « fourmis » courent du matin au soir et ne s’arrêtent que pour consommer ! La masse des Hommes est née dans cette fourmilière humaine, elle s’y est intégrée sans jamais la remettre en question, si bien qu’elle est autant coupable que ceux qui l’ont créée. Sans le savoir, elle est la complice des élites de ce « jeu de société » malsain, qui se gavent comme jamais. »
Le Monopoly
Livre 1
À toutes les époques, il y a eu des empires : les Égyptiens, les Mayas, les Romains etc. Chacun d’eux imposait sa façon de vivre aux peuples et aujourd’hui nous n’échappons pas à la règle, nous évoluons au sein d’un empire qui te réduit à une valeur marchande, à une force de travail et de consommation. Travaille et consomme, tels sont ses deux commandements ! Cet empire fait de toi un pion vivant. Un pion de Monopoly qui joue avec des vrais billets. Cet empire, c’est cette société capitaliste démesurée où les braves soldats travaillent du matin au soir, consomment et s’endettent.
Le plus grand spectacle après le Big Bang ?
L’Univers tient du miracle mais n’a pas la capacité de se trouver miraculeux. Il est quelque chose de grandiose, d’incompréhensible, de déconcertant, mais seulement pour celui qui dispose du matériel pour le trouver ainsi. Peut-être est-il moins extraordinaire que des créatures qui vivent en lui et grâce à lui mais qui pensent, c’est-à-dire des créatures capables de le trouver extraordinaire et de s’émouvoir en le contemplant.
Il n’est pas évident de répondre à la question de savoir ce qui est le plus fascinant et incompréhensible entre le fait que l’Univers soit apparu et le fait que des êtres qui vivent et tentent de le comprendre soient apparus en lui. En tout cas c’est fasciné, que celui qui pense observera en méditant cet Univers et les êtres pensants qui évoluent en lui.
L'usine à calculettes
Une école véritable ne forme pas ses élèves comme une usine à calculettes programmerait ses machines, c’est-à-dire en les rendant capables d’additionner, de soustraire et de multiplier, sans jamais penser. Car, alors, ces derniers seront plus ou moins semblables à ces machines qui peuvent résoudre de grands problèmes sans jamais jouir de comprendre ou s’interroger sur ce qu’ils font. Ils seront d’une part programmés pour assurer leurs spécialités et jamais pour penser et, d’autre part, ils obéiront à leur insu à leurs instincts comme des ordinateurs à leurs programmes.
Le but d’un homme n’est pas d’apprendre à lire ou à écrire, mais d’atteindre le degré de conscience le plus élevé. C'est en pensant qu'il peut arriver à cette fin.
Old Tjikko
« Mais comment est-il possible que nous soyons capables de tant d’ingéniosité et qu’en même temps nous fassions régner l’injustice et la cruauté la plus sauvage dans notre ruche ?
Voilà la question que pourrait se poser une abeille, si la Nature lui offrait la capacité de poser des questions. Les abeilles sont capables de résoudre des problèmes difficiles mais se tuent entre frères et sœurs.
Si celui qui nous lit en ce moment ne se sent pas concerné par ce que nous venons de dire sur les abeilles pour la simple raison qu’il ne butine pas, alors il est naïf et devrait observer davantage le monde dans lequel il évolue. (...) Quelque chose ne doit pas tourner à l’endroit dans le monde des hommes pour que l’injustice y triomphe autant que dans celui des abeilles. »
Viens sur Andromède !
Dans ce petit essai de philosophie, Alexis Haupt tente d'aider les personnes « mourantes » à se concentrer sur « l'essentiel ». Pour l'auteur, le propre de l'homme est de réaliser son cogito, c'est-à-dire faire l'expérience de René Descartes : prendre conscience de sa propre existence en tant que « chose qui pense », en tant que conscience. L'auteur nous emmène donc dans son univers dans lequel il nous montre le caractère impératif de faire cette expérience durant notre court passage sur terre. Dans une rhétorique particulière, il exprime sa frustration, sa crainte de voir les gens mourir sans avoir fait connaissance avec eux-mêmes, sans avoir pris conscience qu'ils étaient la « conscience éphémère de l'univers ».
Le Pouvoir du peuple
« L’Homme est un être pensant, il doit par conséquent penser aux lois et non à ceux qui les feront ! L’être humain se fourvoie en se demandant quel serait le meilleur législateur ; il doit plutôt s’interroger sur ce que seraient les meilleures lois pour son pays. Un citoyen n’a pas à élire son chef, il pense, et par conséquent il pense aux lois, il les vote ! Il médite sur les lois en se demandant lesquelles feront avancer le pays dans le bon sens, lesquelles feront triompher la justice pour le peuple ».